"Solitude", parce que Carmine joue sans accompagnement mais aussi parce que c'est le titre d'un morceau de Duke Ellington qui est au répertoire. Au long du set, Carmine joue des standards du jazz mais aussi des musiques de film et quelques autres thèmes. Tout seul, aucune machine, juste six cordes et dix doigts ! Il n'en faut pas plus pour vous transporter dans un univers délicat, parfois nostalgique, toujours emprunt d'une ineffable beauté. Une émotion intacte.